Il est important de savoir que si vous avez été diagnostiquée avec un score BI-RADS 2 (classification standard des résultats de mammographie) indiquant un kyste simple, un fibroadénome ou une calcification, cela signifie qu'il existe une anomalie bénigne du sein.
De nombreuses femmes présentent un score BI-RADS 3, correspondant à une anomalie probablement bénigne ou maligne : masse solide non palpable (visible uniquement à l'imagerie), petit amas de microcalcifications régulières, asymétrie focale de densité ou kyste à paroi légèrement épaisse. Ce score indique un faible risque de cancer (environ 2 %), mais non nul.
Une surveillance de quelques mois à deux ans est généralement recommandée. Sans suivi ni traitement, certains cas peuvent évoluer vers une lésion bénigne ou maligne. Si vous êtes classée BI-RADS 2 ou 3, ne prenez aucun risque : demandez à suivre un traitement à l'Institut Bio Médical.
Un traitement précoce offre jusqu'à 90 % de chances de guérison. Agissez dès maintenant avant que la maladie ne s'aggrave ou ne s'installe définitivement.
Généralement le cancer de sein se manifeste par une douleurs et picotements fréquentes ou passagères, ganglions gonflés sous l'aisselle, apparition d'une Petite boule ou nodule dans le sein ou sous l'aisselle (souvent indolore), des écoulements mammaires, un changement de couleur de la peau (plissée, rougeur, peau d'orange) autour du mamelon. Modification de la forme ou de la taille d'un sein.
Si vous remarquez ces symptômes ou un changement inhabituel, ne prenez aucun risque en cas de doutes — prenez plutôt un rdv dans l'immédiat à L'INSTITUT BIO MEDICAL pour bénéficier d'un diagnostic complet (consultation, examens, traitement et suivi).
Parce que votre vigilance peut tout changer, ne laissez pas la peur et la négligence prendre le dessus car Mieux vaut prévenir que subit.
Des statistiques mondiales, africaines et ivoiriennes qui soulignent l'urgence d'agir
Le cancer du sein est le cancer le plus répandu chez les femmes dans le monde, avec 2,3 millions de nouveaux cas et 670 000 décès en 2022.
Le cancer du sein est le premier cancer chez la femme. En 2020, on a enregistré 3 306 nouveaux cas et 1 785 décès (GLOBOCAN). Plus de 70 % des cas sont diagnostiqués à un stade avancé, rendant le traitement plus difficile et réduisant les chances de guérison.
Le continent connaît un taux de mortalité très élevé lié au cancer du sein. Selon GLOBOCAN (2022), on y a recensé environ 198 553 nouveaux cas, avec une mortalité particulièrement marquée en Afrique subsaharienne. Si la tendance se maintient, l'OMS prévoit jusqu'à 135 000 décès annuels d'ici 2040.
Le cancer du sein représente un enjeu de santé publique majeur en Côte d'Ivoire et sur le continent africain. Sa mortalité élevée dans notre région n'est pas une fatalité, mais la conséquence directe de diagnostics trop souvent tardifs.
Il est temps d'agir collectivement et individuellement.
Il est crucial de comprendre qu'un cancer du sein détecté à un stade précoce offre des chances de guérison supérieures à 90%. À ce stade, les traitements sont souvent moins lourds et les perspectives de vie sont radicalement meilleures. Attendre l'apparition de symptômes avancés, c'est laisser à la maladie un temps précieux pour progresser, compliquant ainsi le traitement et réduisant considérablement les chances de survie.
Le cancer du sein représente un enjeu de santé publique majeur en Côte d'Ivoire. Plus de 70% des cas sont diagnostiqués à un stade avancé, rendant le traitement plus difficile et réduisant les chances de guérison. Sa mortalité élevée n'est pas une fatalité, mais la conséquence directe de diagnostics trop souvent tardifs.
Attendre l'apparition de symptômes avancés, c'est laisser à la maladie un temps précieux pour progresser, compliquant ainsi le traitement et réduisant considérablement les chances de survie.Le dépistage est un acte de responsabilité envers soi-même et d'amour envers ses proches.
Nous lançons un appel solennel à toutes les femmes : devenez les premières actrices de votre santé.N'attendez pas d'avoir mal, n'attendez pas de voir un signe évident. La prévention active est notre meilleur outil.
"Anticiper, c'est se donner le pouvoir de guérir. Parlez-en autour de vous, mobilisez-vous et, surtout, agissez pour votre guérison."
Cela se traduit par quatre gestes simples mais fondamentaux :
Le dépistage est un acte de responsabilité envers soi-même et d'amour envers ses proches. Ne laissez ni la peur, ni la négligence, ni le manque d'information dicter l'avenir de votre santé.
Anticiper, c'est se donner le pouvoir de guérir. Parlez-en autour de vous, mobilisez-vous et, surtout, agissez pour votre guérison.